Charles-Nicolas-Sigisbert Sonnini de Manoncourt (Travels to Upper and Lower Egypt, 1799, translated by Rev. Henry Hunter, p. 663) gives a curious account of Arab (Egyptian) lewdness. “The female crocodile during congress is turned upon her back and cannot rise without difficulty. Will it be believed that there are men who take advantage of the helpless situation of the female, drive off the male, and supplant him in this frightful intercourse ? Horrible embraces, the knowledge of which was wanting to complete the disgusting history of human perversity!”
This is a disturbing anticipation of Lautréamont’s account of Maldoror’s coupling with a female shark :
“Alors, d’un commun accord, entre deux eaux, ils glissèrent l’un vers l’autre, avec une admiration mutuelle, la femelle de requin écartant l’eau de ses nageoires, Maldoror battant l’onde avec ses bras; et retinrent leur souffle, dans une vénération profonde, chacun désireux de contempler, pour la première fois, son portrait vivant.
Deux cuisses nerveuses se collèrent étroitement à la peau visqueuse du monstre, comme deux sangsues; et, les bras et les nageoires entrelacés autour du corps de l’objet aimé qu’ils entouraient avec amour, tandis que leurs gorges et leurs poitrines ne faisaient bientôt plus qu’une masse glauque; au milieu de la tempête qui continuait de sévir, ils se réunirent dans un accouplement long, chaste et hideux !…”
Poetry at its coldest… Lesson: don’t use fraud in your madness! — N’usez pas de fraude dans vos égarements…
———————–